Tic, tac : l'été se termine

Votre trop bref été a-t-il été agréable ? Pour moi, les « vacances » d'été consistaient en quelques jours de congé sporadiques, ici et là. Les deux sorties que je considère comme de véritables jours de vacances ont été définitivement mémorables, chacune à leur manière.

Fin juin, ma fille et moi sommes allés à San Jose et avons rencontré ma nièce Kristel et son mari Jon, assistant à l'événement de la journée de repêchage de la Ligue nationale de hockey au SAP Center. Nous avons été inscrits sur la liste des invités spéciaux, ce qui nous a donné accès à de la nourriture et des boissons gratuites ainsi qu'à l'opportunité de rencontrer et d'avoir une brève séance de questions-réponses avec l'un des diffuseurs des Sharks de San Jose, Randy Hahn.

Le repêchage lui-même a été diffusé sur grand écran, il y a eu des jeux-questionnaires, des interactions entre les fans avec les hôtes de l'arène et le joueur retraité Scott Hannan et, bien sûr, des photos avec la mascotte SJ Sharkie. Une journée spéciale pour notre famille, alors que nous consolidons notre position de fanatiques des Sharks.

Avance rapide jusqu’au début du mois d’août, avec un jour de congé supplémentaire avant la reprise de l’école. Ma sœur Sue habite à quelques minutes en voiture, à environ 80 miles, près de Fairfield. Elle et son mari avaient refait leur cuisine il y a quelques années et, étonnamment, je n'étais pas là pour le voir. Nos dernières réunions de famille ont eu lieu principalement à River Island, à Lathrop, où vivent mon neveu, sa femme et leurs trois jeunes enfants. Ils ont une grande maison et c'est plus facile pour tout le monde de s'y retrouver.

Mais je voulais voir la cuisine, je voulais faire un peu de géocaching – un peu comme une chasse au trésor, en utilisant des coordonnées et en parcourant la campagne – pour trouver ce que d'autres personnes avaient placé dans des endroits isolés, et je voulais profiter d'un moment de détente. jour.

Après avoir été retardé par un train à Escalon, des travaux sur la I-5 à Stockton et un pont-levis sur l'autoroute 12 dans le Delta, j'ai finalement réussi.

Après la visite complète de la rénovation de la cuisine et après avoir admiré quelques autres changements de décoration intérieure, nous avons rencontré Kristel pour récupérer quelques articles nécessaires pour le dîner de ce soir-là, puis ma sœur et moi nous sommes lancés dans notre aventure de géocaching. C'est une professionnelle chevronnée; J'aime participer lorsque l'occasion se présente.

Elle voulait atteindre quelques endroits à Benicia et nous avons escaladé des rochers, fouillé des arbres et descendu un ou deux talus herbeux, trouvant deux des trois que nous recherchions activement. Nous avons également découvert quelque chose que nous ne recherchions certainement pas en sortant des sentiers battus… découvrir en arrivant chez ma nièce (quand l'une d'elles m'a sauté ou est tombée sur la table de la cuisine) que nous avions ramené des tiques avec nous. Ma sœur en avait un sur elle et un sur son sac à dos. Ils m’aimaient davantage. Beaucoup plus.

Quelque part, d’une manière ou d’une autre, j’ai dû déranger leur antre et ils n’aimaient pas ça. Ils étaient partout. Partout. Il rampe littéralement partout sur moi. Dans mes cheveux, dans mes vêtements… Je frémis à chaque fois que j'y pense, comme dans un film d'horreur glauque où les insectes ne cessent de se multiplier.

C'était une infestation au point où j'ai dû emprunter des vêtements pour pouvoir jeter les miens dans la machine à laver avec de l'eau très chaude et les sécher à haute température dans le but de les décoller.

Ma nièce m'a donné un shampoing entièrement naturel contre les puces et les tiques pour chiens et chats à utiliser sous une douche chaude – « Ne vous en mettez pas dans les yeux », a-t-elle prévenu – et ensuite, elle a utilisé le peigne à tiques et en a peigné quelques-uns. de morts. Sans parler de la douzaine de cheveux vivants que ma sœur a épilés dans mes cheveux avant la douche. Gag.

Ne croyant pas que nous les avions tous trouvés, j'ai littéralement jeté les baskets que j'avais portées ce jour-là. Fait. Je ne les remets pas. J'ai emprunté une vieille paire à ma sœur pour rentrer chez moi.

J'ai également porté les vêtements empruntés à la maison et relavé mes vêtements anti-tiques, juste pour être sûr. Et j'ai passé plusieurs jours à m'assurer que cette démangeaison fantôme que je continuais d'avoir n'était rien de plus que mon imagination.

Même si j'ai aimé voir ma sœur et sa cuisine, je ne pense pas que le géocaching figurera sur ma liste de choses à faire lors de ma prochaine visite.

Marg Jackson est rédactrice en chef de The Oakdale Leader, The Escalon Times et The Riverbank News. Elle peut être contactée à [email protected] ou en appelant le 209-847-3021.